
L’HISTOIRE DE LA VENUS DE BRIZET
Francesco CREMONESE
Le 28 avril 1937 un paysan Jean Gonon laboure son champ à St Just St Rambert, soudain sa charrue est bloquée, il dégage à la main et voit apparaitre une statue de femme nue.
Il voit toute de suite que c’est une découverte exceptionnelle, rameute les journalistes… puis les experts accourent.
C’est bien une magnifique Vénus en marbre, qui vient d’être découverte : elle sera appelée la « Venus de Brizet » du nom du lieudit.
Des centaines d’articles de presse relatent la découverte, aucun doute c’est l’œuvre du sculpteur grec Phidias et les autorités classent sa découverte « Monument Historique ».
Mais le 26 novembre 1938, 7 mois après, la Loire Républicaine publie un scoop explosif : La Venus de Brizet « c’est pas Phidias, c’est moi », dit François CREMONESE un jeune émigré italien de Villars et je peux en apporter la preuve irréfutable. De nouveau la presse va relater ce nouveau rebondissement.
Mais qui est vraiment Francesco Crémonèse ce jeune sculpteur de 29 ans qui prétant être l’auteur de la magnifique Vénus de Brizet ? Est-il un imposteur ou un véritable artiste ? Comment a-t-il fait ?
C’est une longue histoire imbriquée dans ce début de 20° siècle tumultueux et tragique.
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